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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 22:18

-2- L'ESCLAVAGE (ANTIQUE) - Le mode de production fondé sur l’esclavage

 

Première société antagonique de classes, qui a pris naissance sur les ruines de la commune primitive (V.), par suite du développement des forces productives, de la propriété privée, de l'accentuation de l'inégalité économique. De même que la commune primitive, l'esclavage a existé, dans des proportions différentes, chez tous les peuples. Il avait pris une grande extension en Orient : en Égypte, en Assyrie, en Babylonie, en Mésopotamie, dans l'Inde, en Chine, en Transcaucasie(Ourartou) et dans d'autres contrées. Le nombre des esclaves se comptait par dizaines de milliers. Cependant, dans ces pays, l'esclavage avait surtout un caractère domestique et patriarcal. Les esclaves n'y étaient pas la force productive essentielle. Les paysans, étroitement liés à la commune et durement exploités par un Etat despotique, constituaient la force productive principale dans l'Orient ancien. De même, dans la Russie d'autrefois, et surtout à l'époque kiévienne, l'esclavage était domestique et patriarcal, mais moins développé qu'en Orient. Il atteint sa forme supérieure dans la Grèce et la Rome antiques, où l'esclave devient la force productive essentielle de la société, et l'esclavage, le mode de production dominant. Sous ce régime les propriétaires d'esclaves constituent la classe dominante qui se divise en groupes sociaux distincts : gros propriétaires fonciers, propriétaires de grands ateliers, marchands, usuriers. La deuxième classe fondamentale est la nombreuse classe des esclaves. A part ces deux classes essentielles, il y a dans cette société des couches intermédiaires de population libre : les petits propriétaires vivant de leur travail (artisans et paysans), et le lumpenprolétariat qui provenait des artisans et des paysans ruinés. Les rapports de production ont pour fondement la propriété du maître sur les moyens de production et sur l'esclave qu'il peut vendre, acheter et même tuer. Ces rapports correspondent à un niveau des forces productives supérieur à celui de la commune primitive L'élevage, l'agriculture, les métiers, la division du travail entre ces différentes branches de la production, l'emploi des instruments métalliques ont pris une assez large extension. La production marchande se développe. L'exploitation des esclaves basée sur la contrainte extra-économique atteint des proportions monstrueuses. A l'exploitation et à la violence, les esclaves répondent par un bas rendement et par la détérioration des instruments. Le surproduit créé par chaque esclave séparément est insignifiant. Mais la somme générale du surproduit provenant de l'exploitation d'un nombre énorme d'esclaves, dont le travail ne coûtait presque rien, est relativement élevée. Cette hase rendit possible un certain progrès social, le développement des sciences, de l'art, de la philosophie. On observe également un certain progrès dans la technique qui reste cependant fort peu évoluée et routinière, étant fondée sur l'esclavage. Les prix dérisoires des esclaves, le travail presque gratuit de ces derniers ne donnent pas au maître de stimulant économique pour introduire des instruments de production nouveaux, perfectionnés. Avec l'apparition de la société esclavagiste prend naissance et se développe l'État en tant qu'appareil de contrainte, en tant que machine servant à opprimer la majorité exploitée de la société par une minorité d'exploiteurs. Toute l'histoire de l'esclavage est l'histoire d'une cruelle lutte de classe. L'esclavage a été une étape nécessaire dans le progrès de la société. Il a servi de terrain à une évolution plus rapide des forces productives, des sciences, de la culture. Mais, après avoir atteint un certain niveau, les forces productives ne pouvaient plus se développer dans le cadre des rapports de production de la société esclavagiste. Avec la désagrégation du régime esclavagiste, la lutte de classe atteint son point culminant. Les soulèvements des esclaves s'enchevêtrent avec la lutte des petits paysans ruinés contre les grands propriétaires fonciers. La chute du régime esclavagiste à Rome a été accélérée par les invasions. La forme d'exploitation esclavagiste est remplacée par une autre, l'exploitation féodale. Avec la disparition du mode de production esclavagiste, l'esclavage ne disparaît pas complètement. Il subsiste dans une mesure plus ou moins grande sous les régimes féodal et capitaliste.■

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Texte publié dans «L'Étoile du Nord», édition en français de Northstar Compass, l'organe du Conseil international pour l'amitié et la solidarité avec les peuples soviétiques - www.northstarcompass.org - Volume 10, numéro 2 - Mai / Juin 2012

 

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 22:15

MODES DE PRODUCTION ET LUTTE DES CLASSES À TRAVERS L’HISTOIRE

Cinq articles tirés du «Petit dictionnaire philosophique» de Rosentahl et Ioudine

Article 1 - COMMUNE PRIMITIVE (le mode de production de la communauté primitive)

  

 

Les cinq articles reproduits ci-dessous, tirés du «Petit dictionnaire philosophique» de Rosentahl et Ioudine, décrivent les principaux modes de production à travers l’histoire.  Ils permettent de suivre l’évolution de la société, des techniques, des moyens de production, de la propriété à travers l’histoire selon le matérialisme dialectique et historique.  Ils permettent de comprendre le passage de la société sans classe (commune primitive) à la société de classe, la naissance des différentes classes sociales dominantes et dominées, l’évolution des techniques de production, de l’organisation de la société, le développement des forces productives.  Nous avons placé les 5 articles selon l’ordre chronologique de l’apparition des modes de production : (1) le mode de production de la communauté primitive; (2) le mode de production fondé sur l’esclavage; (3) le mode de production féodale; (4) le mode de production capitaliste; (5) le socialisme et le communisme.

 

Les principaux modes de production sont traités, plus en profondeur, par un autre livre important pour les études marxistes-léninistes, le «Manuel d’économie politique», publié par l’Académie des sciences de l’URSS – Institut d’économie (1955) [AA]

 

 

-1- COMMUNAUTÉ PRIMITIVE :

 

Formation sociale première qui pendant des dizaines de millénaires a existé chez tous les peuples au stade primitif de leur développement. Dans la commune primitive, les rapports de production sont fondés sur la propriété collective des moyens de production. Les instruments, la terre, l'habitation, etc., étaient la propriété commune de la collectivité, de la horde, du clan. La propriété individuelle des ustensiles de ménage, des vêtements, etc., existe dans le cadre de la propriété collective des moyens de production. Ici pas d'exploitation de l'homme par l'homme ; il n'y a ni classes, ni Etat. Les nommes primitifs vivent en groupes nomades et se procurent des moyens d'existence en cueillant des plantes comestibles et en s'adonnant à la chasse. Ils produisent en commun, par clans entiers, à l'aide d'instruments primitifs ; les produits de leur travail sont de même consommés en commun ou divisés en parts égales. Le caractère des rapports de production dans la commune primitive s'explique par le bas niveau de développement des forces productives, par l'état rudimentaire des instruments de production, par l'absence de la division sociale du travail. C'est seulement en commun que les hommes primitifs pouvaient s'assurer des moyens d'existence et se protéger contre les bêtes féroces et les tribus voisines. La première grande division sociale du travail — séparation de l'élevage et de l'agriculture — a pour résultat un développement plus rapide des forces productives de la société primitive. Les échanges se multiplient, la propriété privée apparaît, et avec elle l'inégalité économique des membres de la communauté. La première grande division sociale du travail et la propriété privée des moyens de production qu'elle engendre ont pour effet l'apparition de l'esclavage, ce qui accentue encore l'inégalité économique et contribue à désagréger la commune primitive. Après avoir stimulé le développement des forces productives, la production collective et la répartition égalitaire des produits deviennent leur entrave. Au stade supérieur de la société primitive se produit la deuxième grande division sociale du travail : la séparation des métiers et de l'agriculture, ce qui intensifie la destruction de la commune primitive. La richesse et la pauvreté, l'exploitation, les classes et l'État font leur apparition. La commune primitive s'effondre définitivement et fait place à la société de classes, à l'esclavage (V.) et à la féodalité (V.)■

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Texte publié dans «L'Étoile du Nord», édition en français de Northstar Compass, l'organe du Conseil international pour l'amitié et la solidarité avec les peuples soviétiques - www.northstarcompass.org - Volume 10, numéro 2 - Mai / Juin 2012

 

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 22:09

Le «Petit dictionnaire philosophique» élaboré sous la direction de M. Rosentahl et P. Ioudine -

Un ouvrage essentiel pour comprendre le monde, la société – Étude de la connaissance et de la vérité

 

 

Le «Petit dictionnaire philosophique» élaboré sous la direction de M. Rosentahl et P. Ioudine, contient des définitions, des articles biographiques, des résumés d’ouvrages fondamentaux de philosophes de différentes époques et des grands éducateurs du prolétariat (Marx et Engels, Lénine et Staline, entre autres).  Traduit en plusieurs langues, il a servi pendant des années à la formation des communistes du monde entier.  Le dictionnaire a eu au moins deux éditions russes.  La première édition en russe remonte à 1939.  L’édition numérisée par le camarade Vincent Gouysse dans ses pages Internet http://www.communisme-bolchevisme.net  et http://www.marxisme.fr est plus développée que la première, mais présente un problème : elle a été publiée en 1955, après la mort de Staline (1953), alors que Khrouchtchev et la direction révisionniste consolidaient leur pouvoir au sein du Parti communiste et de l’État soviétique et commençaient leur travail de destruction idéologique, politique et organisationnelle du socialisme et de restauration du capitalisme en l’URSS.  Le camarade Vincent Gouysse a donc écrit les notes suivantes sur la justesse du point de vue marxiste-léniniste de la version numérisée.  [AA]

 

 

 

Note d’introduction de Vincent Gouysse :

 

«PETIT DICTIONNAIRE PHILOSOPHIQUE Sous la direction de M. Rosentahl et P. Ioudine

Le Petit dictionnaire philosophique est conforme à l'édition abrégée du texte russe publié par les Éditions politiques d'État (Moscou, 1955).

Édition électronique réalisée par Vincent Gouysse à partir de l’ouvrage paru en 1955 aux Éditions en langues étrangères de Moscou.  Les portraits ainsi que les termes grecs ne sont pas reproduits dans cette édition, ces derniers étant signalés par […]. Édité avant l’officialisation du triomphe des révisionnistes soviétiques, cet ouvrage ne comporte pas de révision flagrante des principes du marxisme-léninisme, à l’exception de quelques appréciations antimatérialistes sur la Chine maoïste — en particulier l’incompréhension du caractère révisionniste et nationaliste bourgeois des thèses sur la « démocratie nouvelle ». (Voir notre étude «Impérialisme et anti-impérialisme».)

http://www.communisme-bolchevisme.net - http://www.marxisme.fr »

 

 

Note : Si le lien Internet aux pages de Vincent Gouysse ne fonctionne pas utilisez le lien suivant : http://www.scribd.com/doc/54933795/Petit-Dictionnaire-que-Moscou-1955

 

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Texte publié dans «L'Étoile du Nord», édition en français de Northstar Compass, l'organe du Conseil international pour l'amitié et la solidarité avec les peuples soviétiques - www.northstarcompass.org - Volume 10, numéro 2 - Mai / Juin 2012

 

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 19:13

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«Marx, Engels et Lénine - Sur la dictature du prolétariat» - Brochure - Éditions en langues étrangère, Pékin, 1975

[Note de Reconstruction communiste Canada : Nous avons recopié ci-dessous des textes de la brochure mentionnée ci-dessus.  Nous poursuivrons ce travail.]

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Page 5 de la brochure :

«(...) en ce qui me concerne, ce n'est pas à moi que revient le mérite d'avoir découvert ni l'existence des classes dans la société moderne, ni leur lutte entre elles.  Longtemps avant moi, des historiens bourgeois avaient exposé l'évolution historique de cette lutte des classes et des économistes bourgeois en avaient décrit l'autonomie économique.  Ce que j'ai apporté de nouveau, c'est de démontrer 1) que l'existence des classes n'est liée qu'à des phases historiques déterminées du développement de la production; 2) que la lutte des classes mène nécessairement à la dictature du prolétariat; 3) que cette dictature elle-même ne représente que la transition à l'abolition de toutes les classes et à une société sans classes

 «K. Marx à J. Wedemeyer» (5 mars 1852)

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Page 6 de la brochure :

«Entre la société capitaliste et la société communiste se place la période de transformation révolutionnaire de celle-là en celle-ci.  À quoi correspond une période de transition politique où l'État ne saurait être autre chose que la dictature révolutionnaire du prolétariat

K. Marx : «Critique du programme de Gotha» (Avril-début mai 1875)

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Page 6 de la brochure :

«Ce socialisme est la déclaration permanente de la révolution, la dictature de classe du prolétariat, comme point de transition nécessaire pour arriver à la suppression des différences de classe en général, à la supression de tous les rapports de production sur lesquels elles reposent, à la suppression de toutes les relations sociales qui correspondent à ces rapports de production, au bouleversement de toutes les idées qui émanent de ces relations sociales.»

K. Marx : «Les luttes de classes en France (1848-1850)» (Janvier-1er novembre 1850)

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Page 7 de la brochure :

«En détruisant les conditions existantes d'oppression par la remise de tous les mohyens de travail au producteur, et en obligeant de cette manière chaque individu physiquement susceptible de le faire à travailler pour subvenir à son existence, nous supprimons l'unique base de la domination et de l'oppression de classe.  Mais avant qu'un tel changement puisse être effectué, une dictature du prolétariat devient nécessaire, dont la première condition est une armée prolétarienne.»

K. Marx : «Discours prononcé à l'occasion du 7e anniversaire de l'Internationale» (Septembre 1871)

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Page 7 de la brochure :

«La révolution communiste est la rupture la plus radicale avec le régime traditionnel de propriété; rien d'étonnant si, dans le cours de son développement, elle rompt de la façon la plus radicale avec les idées traditionnelles.»

K. Marx & F. Engels : «Manifeste du Parti communite» (Février 1848)

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 18:26

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Lénine - Marxisme et Révisionnisme - Mi-avril 1908 - OEuvres - Tome 15, pp. 23-34

 

Texte tiré de la préface du tome 1 des OEuvres choisies de Lénine en 3 volumes (Moscou 1971), p. 15 :

 

«À la mi-avril 1908, Lénine remet à l'imprimerie son article «Marxisme et Révisionnisme», qui marque, selon lui, une «déclaration officielle de guerre au révisionnisme».  Lénine montre comment avec la victoire du marxisme dans le mouvement ouvrier ses ennemis ont changé de méthode de lutte et se sont mis à saper la théorie marxiste sous prétexte de «corriger», et de «réviser» ses principes fondamentaux.  Les révisionnistes niaient le matérialisme et la dialectique marxistes, les principes fondamentaux de l'économie politique marxiste, repoussaient l'idée de la lutte de classe et de la dictature du prolétariat, répudiaient le socialisme en tant que but final du mouvement ouvrier.  Lénine enseigne que le révisionnisme est un phénomène international qui a des racines profondes dans la société capitaliste, que la lutte acharnée contre ce phénomène, une lutte constante et méthodique, est indispensable.  Lénine était certain de la victoire inévitable du marxisme sur le révisionnisme, du triomphe du marxisme.  «La lutte idéologique, écrit-il, du marxisme révolutionnaire contre le révisionnisme, à la fin du XIXe siècle, n'est que le prélude des grands combats révolutionnaire en marche vers la victoire totale de sa cause, en dépit de toutes les hésitations et faiblesses des éléments petits-bourgeois.»

 

OEuvres choisies de Lénine en 3 volumes (Moscou 1971), p. 70

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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 18:00

Lénine

Théorie marxiste de l'État

L'État est une machine de répression par laquelle une classe en domine une autre au moyen de la police, de l'armée et des prisons

 

Lénine (Vladimir Illych Oulianov)

L'État et la révolution - 1917 - Oeuvres complètes, tome 25, Éditions du Progrès, Moscou, pp. 417-422

 

Manuel de Formation - Ligue communiste (marxiste-léniniste) du Canada - 1978

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 12:03

Enver Hoxha, premier secrétaire du Comité central du Parti du Travail d'Albanie

La grande divergence 1960 - Le Parti du travail d'Albanie face au révisionnisme khrouchtchévien

Nouveau bureau d'édition (NBE), Paris, 1976

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 11:53

Brar, Harpal

 

Trotskysm or Leninism? London, 1993

 

Trotskisme ou léninisme? Traduction de l’anglais par Johnny Coopmams – Postface de Ludo Martens – Numéro spécial -

Études marxistes – EPO – Bruxelles, Belgique, 1995

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 11:18

 


Manuel d’économie politique

Académie des sciences de l’U.R.S.S. 

Institut d’Économie

Texte conforme à la 2e édition (1955)

Cet ouvrage, traduit du russe, a été publié dans son texte original sous le titre :

Polititcheskaia Ékonomiia (Outchebnik),

Gossoudarstvennoié Izdatelstvo, polititcheskoï litératoury, Moscou, 1955.

La présente édition électronique ne reprend que la première moitié du Manuel, à savoir les deux premières parties sur les modes de production précapitalistes et capitaliste. La deuxième moitié du Manuel original (la troisième partie) porte sur le mode de production socialiste.

Digitalisation du texte par Vincent Gouysse (www.lescommunistes.net/~bolchevisme). Les notes de bas de page (le plus souvent des références biliographiques) ont été intégrées dans le texte entre parenthèses.

 

Corrections et mise en forme html par Dominique Meeùs pour les Études marxistes (www.marx.be). Certaines références à Lénine dans l’édition russe des Œuvres ou dans des éditions françaises plus anciennes ont été remplacées par des références aux Œuvres en français et les citations ont été mises en conformité avec cette traduction.

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 10:34

FILIP KOTA

Deux lignes opposées dans le

mouvement syndical mondial

Traduit de l'albanais :

« DY VIJA TE KUNDERTA NE LEVIZJEN SINDIKALE BOTERORE »

Shtëpia Botuese « 8 Nëntori » Tiranë 1973

Filip KOTA est né en 1923 dans la ville de Korcë. Encore élève à

l'école secondaire, il participe activement au Mouvement de

Libération Nationale, et s'y bat les armes à la main contre les

occupants fascistes.

Après la Libération du pays il termine ses études supérieures à la

Faculté de Lettres et d'Histoire de l'Université d'État de Tirana

Il occupe des postes de responsabilité dans divers secteurs Où il

déploie une vaste activité politique et sociale. En tant que chef du

Département International du Conseil Central des Unions

Professionnelles d'Albanie (UPA), il représente cette Organisation

dans plusieurs activités internationales et participe, comme membre

des délégations des UPA, à différentes réunions de la Fédération

Syndicale Mondiale et de ses Unions Internationales de Syndicats. Il

est représentant des travailleurs de la République Populaire d'Albanie

à la 48ème session de l'Organisation Internationale du Travail, ainsi

qu'à un bon nombre de conférences et de congrès syndicaux nationaux

et internationaux.

En tant que journaliste, il est auteur de plusieurs articles, traitant des

problèmes du mouvement syndical international.

Membre du Conseil Central des Unions Professionnelles d'Albanie.

Edition électronique réalisée par Vincent Gouysse à partir de l’ouvrage publiée en 1977

par le NBE (Nouveau Bureau d’Edition), Paris.

 

WWW.MARXISME.FR

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Présentation

  • : Le blog de Antonio Artuso - Reconstruction communiste Canada
  • : But : Reconstruction d'un et d'un seul parti communiste au Canada, dans chaque pays et d'un et d'un seul Mouvement communiste international. À l'étape actuelle, la formation théorique-idéologique sur la doctrine de Marx et d'Engels, et de Lénine et de Staline est essentielle - (1) élaboration d'un programme d'études: (2) formation de cercles d'études marxistes-léninistes
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